jeudi 16 novembre 2017

Débordements au centre de Bruxelles

Des violences, saccages et destructions gratuites, vols, agressions de la police, ... par des voyous en bande sans éducation se sont passé les 11 & 15 novembre 2017 dans le centre de Bruxelles.

En raison des incidents connus , la présence policière sera renforcée les prochains jours dans le centre de et une action ferme à l’encontre des fauteurs de troubles sera prise.
Diverses réactions notoires, dont l'enfumage du dernier bourgmestre de Bruxelles, dont la presse a déjà oublié la casserole du et toute la gestion de la ville qui a précédé.

On remarquera également la fulgurance de cet éminent édile de Molenbeek




Ou encore, ce message déviant du MRAX, cette asbl subsidiée par les pouvoirs publics.


Ce dernier persiste et signe dans un silence gêné ...

La Ville de Bxl estime les dégâts à l'espace public occasionnés par les casseurs samedi dernier à 31.000 euros. Elle dépose plainte et compte bien leur exiger le paiement de l'addition, dixit

"On a un problème d’intégration dans certains quartiers de Bruxelles" 
Quatre années ont passé, à peine, et ce jeudi après-midi, alors qu’il est assis dans le sofa de son bureau, Didier Reynders remet le couvert.

"Voilà", dit-il. Voilà: "Ce que j’ai dit il y a quatre ans reste rigoureusement exact. À l’époque, on a dit, on a écrit que j’étais raciste, que je flirtais avec l’extrême droite. Qu’est-ce que je n’ai pas dû encaisser pour avoir mis les points sur les i! La presse s’est également déchaînée contre moi. Et aujourd’hui, on me dit que ce constat-là est beaucoup trop doux, que je me voile quasiment la face."

Les lignes ont bougé, c’est le géomètre Reynders qui le dit. Tout le monde – singulièrement du côté flamand – veut "nettoyer Bruxelles". Sortir les karchers, en finir avec la racaille. Il faut appeler un chat un chat et reconnaître à Reynders qu’il chante ce refrain-là depuis quelque temps déjà.

Il ajoute ceci: "Mais attention, j’ai dit une chose, je dis aussi qu’on ne va pas basculer dans l’autre extrême: dans certains quartiers, on a un problème d’intégration, mais la plupart du temps, cela se passe quand même très bien, on a des histoires de réussite formidables, par exemple dans la communauté d’origine marocaine à Bruxelles, tout ceci ne doit certainement pas être oublié. Tout ceci doit être rappelé." C’est une nuance, et elle est de taille.

    "Je vais mener le combat pour renverser les choix politiques dans cette Région et faire en sorte que les libéraux soient le plus grand parti politique de Bruxelles en 2019. Si nous y parvenons, alors je prendrai mes responsabilités."